Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 18:45

Les parents de Seiji ne disaient plus rien, ils ne bougeaient pas un membre, ils étaient sous le choc. Puis soudain Ayato se leva, les points serrés et hurla sur son fils.

- QUOI ?! COMMENT CELA EST-IL POSSIBLE ?! JE NE PEUX PAS LE CROIRE !!
- Pourtant c’est la vérité papa. C’est lui que j’aime et ce depuis plusieurs mois, nous vivons même ensemble.
- COMMENT AS-TU PU NOUS FAIRE ÇA ?! À MOI ET À TA PAUVRE MÈRE !!
- Calme-toi papa, c’est pas bon pour ton cœur, tu le sais.
- AYUMI TAIS-TOI JE TE PRIE ! JE SUIS SÛR QUE TU SAVAIS TOUT ET TU NE NOUS AS RIEN DIT !
- Je l’ai appris hier soir…
- TAIS-TOI JE T’AI DIT !!
- Aya… Ayato calme… calme-toi…
- MAIS MIWA !!
- Calme-toi.

Miwa semblait avoir repris ses esprits, ne pouvant regarder ni sa fille, ni Sono et encore moins son fils, elle ne quittait pas le sol des yeux, doucement elle monta une main tremblante en direction du poignet droit de son mari, encore debout.

- Calme-toi… assieds-toi s’il te plait.

Son mari lui obéit difficilement, une fois assis, il ne sortit plus aucun son, laissant sa femme se charger de l’affaire.

- Seiji Yamada, comment peux-tu salir ainsi l’honneur de ta famille, elle qui t’a élevée dans les normes de Dieu, il t’est interdit d’aimer quelqu’un du même sexe. Si tu nous dis maintenant que c’est une erreur et que cet homme n’a aucune importance à tes yeux, nous fermeront les notres sur ton passé et sur ce que tu viens de nous dire.

Seiji ne disait plus rien, complètement surpris de la réaction de ses parents. Oh bien sûr il se doutait que cela risquait de se passer ainsi mais au fond de lui il avait nourri un minuscule, mais important, espoir qu’il se trompait et qu’ils l’accepteraient lui et l’homme de sa vie.
Seiji sentit la main de Sono se serrer fort dans la sienne, cette pression le ramena sur terre et il remarqua que Sono allait prendre la parole.

- Monsieur et madame Yamada, je vous en prie, ne punissez pas aussi injustement votre fils. Aimer n’est pas un crime…
- Dans le cas où vous vous trouvez, bien sûr que si, jeune homme ! Et si Seiji ne fait pas ce que je lui ai demandé il n’aura plus aucune place au sein de cette famille et cette maison ne sera plus la sienne.
- Maman c’est injuste !
- C’est comme ça, Ayumi, et pas autrement.

Sono regarda l’homme qu’il aime par dessus tout avant de reprendre la parole.

- Seiji je ne veux pas que tu te brouilles avec ta famille, venir ici et vous voir ensemble m’a montré que vos liens sont trop précieux pour qu’ils soient rompus. Je vais donc sortir de ta vie. Je ne veux pas qu’à cause de moi tu fasses un choix, je ne veux pas que tu me le reproche un jour…

Seiji lâcha vite sa main et prit son visage en coupe et le regarda droit dans les yeux.

- Mon ange, rappelle-toi ce que je t’ai dit dans l’avion, jamais je ne te laisserai je t’en ai fait la promesse et tu en as fait une hier à ma sœur, celle de ne pas me quitter quoi qu’il arrive. Je t’aime à en crever Sono je ne peux pas te quitter, si je te quitte j’en crèverai, je t’ai dit que peu importe la réaction de mes parents on sera toujours ensemble. Je t’aime Sono.

Sur ces paroles, Seiji l’embrassa à pleine bouche avant de donner sa réponse à sa mère.

- Maman je suis désolé mais je ne pourrai jamais me séparer de Sono, je préfère être renié de cette famille que de le perdre. Je suis triste que vous réagissiez ainsi mais je ne peux rien faire, me battre avec vous pour que vous changiez de regard sur nous ne marchera pas, je sais très bien que vous ne pourrez jamais changer d’avis sur ce sujet. J’aime un homme et c’est comme ça, vous m’avez dit qu’aimer est la meilleure des choses qu’il puisse arriver à un homme et c’est vrai. C’est la meilleure des choses qui me soit arrivée, depuis aussi loin que je puisse me souvenir. Maintenant je vais monter, avec l’homme que j’aime, récupérer nos affaires et on va partir de cette maison. Je suis désolé de vous avoir gâché vos fêtes de Noël. Ayumi, merci pour tout.
- De rien grand frère… je suis désolée…
- Autant que moi.

Les garçons montèrent récupérer leurs affaires sans dire un mot de plus. En attendant l’arrivée de leur taxi, ils étaient restés dans leur chambre, Seiji était allongé sur le lit, le visage caché sous un oreiller, il était complètement brisé par l’attitude de ses parents. Sono, quant à lui, était assis au bord du lit la tête dans ses mains, démoralisé lui aussi par ce qu’il venait de se passer plus tôt. Pour lui tout était de sa faute, il repensa au soir où il avait contacté Seiji par mail.

- Tout est de ma faute. Je m’en veux à mort, si seulement je t’avais pas contacté ce soir-là, rien de tout ceci ne se serait passé… Je suis désolé Sei finalement je ne t’aurais apporté que des ennuis. Je comprendrais que tu ne veuilles plus me voir à présent.

Seiji était toujours allongé sur le lit, il retira l’oreiller de sur son visage et le tourna en direction de son compagnon.

- Arrête Sono. Ce n’est pas ta faute si mes parents sont comme ça. Écoute bien ce que je vais te dire. Arrête de tout rejeter sur toi, on a tous une part de responsabilité dans cette histoire. Je savais à peu près comment tout cela allait se passer, et ce, dès le deuxième jour où l’on s’est parlés. Je savais bien que cela risquait de m’attirer des ennuis avec ma famille si on continuait, mais je ne sais pas pourquoi un profond désir de pousser plus loin notre petit jeu de séduction, que tu as créé au départ à mon grand plaisir, c’est emparé de moi. Puis plus tard en y réfléchissent, en faisant la liste des pour et des contre, au niveau de notre histoire tous les ennuis auxquels j’ai pu penser au départ ont tous disparu pour enfin laisser place à des rêves, des moments de bonheur futur. En imaginant la vie que j’allais mener d’ici quelques années, je la voyais avec toi à mes côtés et non avec mes parents. C’est peut être triste à dire mais c’est comme ça. Je savais les « risques » que notre relation allait engendrer pour moi et ma famille mais je les ai mis au placard pour, au final, ne voir que des instants de pur bonheur avec toi. Alors c’est vrai que maintenant que le voile est levé je souffre un peu mais tu veux que je te dise ? Je suis heureux de leur avoir tout avoué, je vais enfin pouvoir vivre ma vie à fond avec toi, mon cœur. Alors s’il te plait Sono ne dis plus que c’est de ta faute et que sans toi j’aurais eu une vie meilleure, c’est faux je suis sûr que si tu ne m’avais jamais envoyé ce mail et ainsi qu’on se soit jamais rencontrés, je n’aurais jamais été aussi heureux que je ne le suis depuis que je te connais. Maintenant on va prendre nos affaires et sortir de la vie de cette famille, qui était avant la mienne, et nous allons créer notre propre famille à nous et tu verras nous serons très bien avec ou sans eux. Je te l’ai dit, c’est toi maintenant ma famille et pour rien au monde je ne voudrais en changer, c’est avec toi que je veux vivre et mourir et non avec mes parents.

Seiji marqua une petite pose et se redressa. Il s’approcha de Sono qui ne bougeait pas et ne décrochait aucun mot, la tête toujours dans ses mains. Une fois à ses côtés, Seiji réussit à passer sa main droite entre celles de Sono et captura le menton de ce dernier entre son pouce et son index. Ainsi il remonta doucement le visage de Sono vers lui puis il reprit plongeant son regard dans le sien.

- Je t’aime Sono, alors je t’en prie, oublie toute cette histoire et accepte la vie à deux que je te propose. Je n’ai qu’une envie, c’est de retourner au Japon avec toi et… de… Tu te souviens de cette phrase que l’on disait quand on était jeune ? « Créons-nous des souvenirs ensemble » promesse de faire un long chemin ensemble avec mariage et enfants à la clé… C’est ce que j’ai envie de faire avec toi… Est-ce que tu… tu accepterais de le faire avec moi ?…Bien sur pour les enfants ça ne pourra pas être possible mais… vivre toute ma vie marié avec toi…
- Seiji…

Comme simple réponse, Sono se jeta au cou de l’homme qui se tenait à ses côtés et il l’embrassa tendrement pendant un long moment jusqu’à en perdre son souffle.

- Je dois prendre ça pour un « oui » ?
- À ton avis ?

Le visage de Sono était radieux et celui de Seiji ne se fit pas attendre pour le devenir lui aussi. Laissant leur amour les envahir, ils oublièrent où ils étaient, Seiji bascula Sono en arrière pour ainsi l’allonger sur le lit, il l’embrassa une nouvelle fois mais cette fois-ci c’était un baiser qui se voulait sauvage, dévorant, tout en l’embrassant il fit glisser une de ses mains sous le pull de Sono et commença à le caresser sensuellement. Il allait commencer à ouvrir la braguette du pantalon de Sono lorsque l’on frappa à la porte de la chambre. C’était Ayumi qui venait les prévenir que leur taxi venait d’arriver et qu’il les attendait. Soudain les garçons retombèrent sur Terre, déçus de cette interruption. Ils se levèrent, Sono remit de l’ordre dans ses vêtements, prit sa valise et partit rejoindre Seiji qui commençait déjà à descendre les escaliers, valise en main. Une fois dehors les garçons dirent au revoir à Ayumi, se promettant de se revoir très vite, puis ils partirent retrouver leur chambre d’hôtel qu’Ayumi avait cherchée pour eux en attendant leur départ.

Après une heure de voiture, les garçons arrivèrent enfin à l’hôtel et montèrent dans leur chambre immédiatement. Une fois la porte fermée à clés Seiji se jeta sur Sono, il plaqua une de ses jambes entre celles de Sono, frotta son bassin contre le sien et tout en l’embrassant sauvagement il conduisit Sono jusqu’au lit où il le poussa violemment avant de se jeter une nouvelle fois sur lui.

- Bébé ? Qu’est ce qui te prend ?
- Il me prend que j’ai envie de toi. Je t’en prie, laisse-moi te faire l’amour s’il te plait je veux…
- C’est bon n’en dis pas plus mon cœur. Et bien fais-toi plaisir alors. Dit Sono en rigolant.

Sauvagement Seiji arracha les habits de Sono, embrassant et griffant chaque parcelle du corps qui se dévoilait sous ses yeux. Une fois Sono nu, Seiji entreprit une fellation vigoureuse sur le membre de son amant qui devint très vite dur et gonflé. Vue « l’ardeur à l’ouvrage » que Seiji mettait à cette tâche, Sono ne put se retenir et se déversa dans la bouche de Seiji. Après avoir reçu la semence de Sono, Seiji l’avala goulûment, leva son regard vers Sono. Il remarqua qu’il avait un regard animal et que son envie de possession serait difficile à satisfaire ce soir.

- Bon, hé bien je crois qu’on va en avoir pour toute la nuit. C’est pas pour me déplaire. Pensa Sono.

Seiji laissa quelques instants à son ange pour récupérer, le temps qu’il retire ses vêtements à lui. Une fois nu à son tour, il agrippa violemment les cuisses de Sono, les souleva, glissa un coussin sous ses reins assez haut pour qu’il puisse commencer à lécher l’orifice qui allait bientôt l’accueillir. La langue de Seiji était chaude et avide. Après avoir bien humidifié l’entrée il fit glisser son index droit dans l’anus de Sono et commença à faire des vas et viens à allure lente, puis il engouffra un second doigt et à ce moment là les va et viens se firent plus rapides, formant à certains moments des petits cercles dans l’orifice. Sono en devenait fou, le plaisir qu’il ressentait était intense, plus présent que lors de la fellation, il avait terriblement chaud et ne cessait de se tortiller sur lui-même, il ne pouvait plus contrôler son corps, c’était la première fois qu’il était comme ça, même la fois où Seiji l’avait pris pour la première fois il n’avait pas ressenti un tel plaisir, la fougue bestialE de Seiji provoquait en lui un plaisir, un désir inouïs. Pour la première fois il jouit rien qu’en ressentant les doigts de Seiji bouger en lui. Fier de lui, ce dernier voulut passer à l’étape suivante.

- Je vais y aller Sono tu es prêt ? Je rentre.

Il mêla parole à ses actes. Il pénétra Sono violemment lui arrachant un cri. Il se stoppa quelques secondes puis donna des coups de hanches assez doucement au départ pour continuer plus vite et plus fort au fur et à mesure. Après plusieurs vas et vient, Seiji attrapa les jambes de Sono et les posa sur ses épaules et s’enfonça en lui encore plus profondément. Les deux garçons laissèrent aller leurs gémissements, ils étaient tellement puissants que leur voisins de chambre pouvaient en profiter. Au bout de plusieurs heures et positions plus tard, dans un ultime violent coup de hanches, Seiji se déversa enfin en Sono, qui se délivra pour la troisième fois sur lui-même. Voyant la semence de Sono couler le long de son torse Seiji ne put s’empêcher de la récupérer en léchant son corps après s’être retiré de lui. Épuisé, Seiji s’allongea au près de son amant et s’endormit très vite. Sono, quant à lui, resta éveillé et le regarda dormir avant de partir prendre une douche.
Lorsqu’il revint de sa douche, Sono s’assit sur son lit et posa une nouvelle fois son regard sur l’homme qu’il aimait.

- Mon amour nous allons enfin pouvoir vivre une vie rien qu’à nous. Je suis désolé pour tes parents j’espère qu’ils changeront d’avis très vite. En attendant je ferai tout pour remplir le vide qu’ils ont créé en toi en te reniant. Plus rien de mal ne risquera de nous arriver…

Il allait se pencher sur Seiji pour déposer un tendre baiser sur son front lorsque son portable se mit à sonner. Lorsqu’il regarda le signal d’appel, son rythme cardiaque accéléra, il respira à fond, s’éloigna du lit pour aller s’asseoir sur un fauteuil un peu plus loin et se décida enfin à décrocher au bout de la quatrième sonnerie.

- Bonjour Monsieur Hanasaki, je suis le docteur Junxiang, je vous appelais par rapport aux examens que vous avez passés il y a quelques jours.
- Oui bonjour docteur. Alors avez vous trouvez ce que j’ai ?
- Oui…

Cela faisait maintenant plusieurs mois que Sono souffrait de mots de têtes insupportables ; conjugué à des vertiges, des vomissements. Pour ne pas inquiéter Seiji il lui avait caché l’état de santé dans lequel il était, pensant que cela partirait tout seul il avait mis du temps avant de décider de passer des examens médicaux. Lors des premiers tests les médecins n’avaient rien trouvé alors ils avaient décidé d’approfondir en lui faisant passer des tas de scanners.

- Que m’arrive-t-il alors ?
- Je suis désolé mais mes collègues et moi même sommes certains de notre diagnostique. Vous souffrez d’une tumeur au cerveau et au stade où vous en êtes il est difficile de dire si vous pourrez vous en sortir. Au mieux il vous reste deux mois à vivre.

La voix du médecin était glaciale et démunie de compassion, on aurait dit un robot, un automate qui avait l’habitude d’annoncer de mauvaises nouvelles aux patients. Sono était complètement abasourdi, il s’attendait à tout sauf à ça. Il ne dit rien, le médecin prit congé et il raccrocha. Sono avait le regard dans le vide, ma mauvaise nouvelle résonnait sans cesse dans sa tête. Il ne lui restait que deux mois maximum à vivre. Le portable tomba au sol ainsi que Sono qui pleurait toutes les larmes de son corps, formant une auréole humide sur la moquette. Comment allait-il en parler à Seiji ? En aurait-il au moins la force ?

Par Natsuko - Publié dans : Love is not a sin [TERMINEE] (yaoi) - Communauté : Les Archanges de Sade
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Commentaires

Oh... Mon... Dieu...
Je suis... Comment dire... Choquée!
Alors là je suis... Profondement choquée!
Sniiiiffff
Déja que Seiji a été rejeté par ses parents pour vivre avec l'homme qu'il aime, il va en plus perdre aussi celui ci???
Non! Alors je m'y oppose fermement. A cet instant j'ai qu'une envie qui est: Rentrer dans l'ordinateur et frappé ce connard de Medecin, pour qu'il dise que y'a un moyen pour notre petit Sono de s'en sortir! 
Sniiiiff, je veux pas que Sono il meurt!!!!
OUIIIIINNNNNNNNNNn
Bon calme Léa. Ce n'est qu'une fic... OUINNNNNN
Je vais pleurer dans mon coin sniif...
Bisous.
Léa

commentaire n° :1 posté par : Ey£s-Ang£| le: 09/01/2008 à 23h02
Léa!! Mdr!! Je vais me caché de suite alors si ça commence comme ça XDAllez afut pas pleurer :calin:Gros bisous!!
réponse de : Natsuko le: 10/01/2008 à 06h55

Arrete j'ai les meme symptome que lui!!! Heureusement que c'est seulement mes oreilles!! Enfin j'espere!!!

Tu es très cruelle avec tes persos!!! Mechante Flo :D
Bisouuuuss

commentaire n° :2 posté par : Dadoune le: 10/01/2008 à 15h47
J'ai  envie de pleurer toutes les larmes de mon corps... Ton histoire est l'une de mes préfères ds celles que je lis... J'en ai mal à la poitrine tellement c'est triste! Sono et Seiji ='(
Magnifiquement écrit l'air de rien , ca arrange l'affaire xD
commentaire n° :3 posté par : Mahea le: 10/01/2008 à 19h44
Au mon dieu!! maintenant qui sont ensemble, l'autre esy malade, c'est trop affreux!!! snif
vivement la suite et merci de nous faire profité de ton talent d'écrivaine yaoiste!!
demon's diary
commentaire n° :4 posté par : lydie le: 13/01/2008 à 02h21
Bon alors hier j'ai essayé de mettre un com mais ça marchait pas!

Donc j'ai lu toute l'histoire d'une seule traite, elle est vraiment bien, je pouvais plus m'arrêter, donc j'espère que tu vas bientôt mettre la suite! =)
commentaire n° :5 posté par : Bloodyrock le: 15/01/2008 à 22h21
espèce de sadique, maintenant j'ai les larmes aux yeux!
commentaire n° :6 posté par : saya le: 17/04/2008 à 11h12
nooooooooooooooooon c affreux pas sa
jy crois pas il va mourir mais non c pas possible sa quand ils sont enfin heureux
c injuste
commentaire n° :7 posté par : cindy le: 10/01/2009 à 07h13

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